Monique Boily

Professeure associée
Département des sciences biologiques
Université du Québec à Montréal

boily.monique@uqam.ca
514-987-3000 poste 5605

Intérêts: développement de biomarqueurs; contamination de l’environnement; pesticides; rétinoïdes; caroténoïdes; faune aquatique (grenouilles et poissons) et terrestre (oiseaux et abeilles); CLHP (Chromatographie liquide à haute performance)


Formation

Ph.D. Sciences de l’Environnement, Université du Québec à Montréal, Canada, 2000
M.Sc. Biologie, Université du Québec à Montréal, Canada, 1994
B.Sc. Écologie, Université du Québec à Montréal, Canada, 1991


Projets de recherche


Effets des contaminants d’origine agricole sur l’abeille domestique
Le déclin des insectes pollinisateurs, comme l’abeille domestique, peut avoir des répercussions importantes sur l’agriculture, l’apiculture, et l’économie agroalimentaire. Les impacts sous-létaux des pesticides sur les abeilles sont mal connus. Les recherches en cours ont pour objectif de connaître les effets des contaminants agricoles sur les abeilles (stades adulte et larvaire). Parce que les engrais et les matières résiduelles fertilisantes (MRF) sont des sources potentielles de métaux, nous explorons également cet aspect. Collaborations avec Catherine Jumarie (UQAM), Olivier Geffard et Jeanne Garric (Irstea) et Pierrick Aupinel (INRA). Programmes de recherche supportés par le CRSNG-Découverte.

Problématique de la perchaude du lac Saint-Pierre
Depuis quelques années la population des perchaudes du Lac Saint-Pierre connaît un déclin sans précédent. Pour tester un possible lien entre ce déclin et la contamination du milieu, nous testons des biomarqueurs chez la perchaude. Ce projet est réalisé en collaboration avec Andrea Bertolo (UQTR), Magali Houde (EC), Philippe Brodeur (MRNF) et Isabelle Giroux (MELCC). Financement, MPO (GNCC)

Effets des pesticides sur la qualité de l’écosystème aquatique du fleuve Saint-Laurent de la région de Montréal
Dans ce projet, nous proposons d’évaluer et de suivre la contamination des cours d’eau par des pesticides afin de proposer un ensemble de mesures de réduction à la source et de mitigation. L’étude est basée sur un bivalve modèle, Ellipsio complanata, utilisée in situ (encagement dans les cours d’eau de la Montérégie) et en laboratoire. Le but de ce projet est d’identifier les meilleurs biomarqueurs chez le bivalve pour réaliser un suivi environnemental de la qualité du milieu. Ce projet est en collaboration avec Lise Parent (Téluq) et Louise Vandelac (UQAM). Projet subventionné par le programme FDE (EC).


Équipe

Maxime Gauthier
Candidat Ph.D. Biologie

Charbel Hanna
Candidat M.Sc. Biologie

Carla Marie Mahé
Candidate M.Sc. Biologie